dimanche 25 février 2007

Recherche de coordonnées d'instances judiciaires à Lubumbashi et Kolwezi !

Source : un lecteur de "La Gazette de Kolwezi"
Date de survenance : 25 février 2007
Date de première publication sur Internet : 25 février 2007

Exclusif "La Gazette de Lubumbashi" (et celle de Kolwezi) :


Un kolwezien vivant ailleurs actuellement nous a envoyé un message ce jour :

"J'ai besoin avant tout de l'adresse et de l'e-mail ou du numéro de fax :
* du tribunal de grande instance de Kolwezi
* du tribunal de grande instance de Lubumbashi
* de monsieur le gouverneur général de Kolwezi." (il veut dire le maire ou d'administrateur du territoire ?)

Un des lecteurs de ce journal électronique pourrait-il fournir l'un ou l'autre des éléments de réponse ?
kazingufu@gmail.com : pour toute correspondance !

D'avance, merci pour lui !

vendredi 23 février 2007

Lubumbashi : signature du contrat annonçant la construction d’une usine de raffinage de cuivre à Kolwezi !

Source : DigitalCongo, Le Palmares
Date de survenance : 23 février 2007
Date de première publication sur Internet : 27 février 2007

Texte intégral :
Construction d’une usine de raffinage de cuivre à Kolwezi

Par Zéphy Vula/Le Palmares

Une usine de raffinage en construction au Katanga.

Avec sa production, 45% de profit avant taxe iront à l’Etat par l’entremise de la Gécamines sur la durée totale de projet estimée à environ 30 ans.
4.000 emplois maximum est nécessaire durant la phase de construction.

La société minière DCP (DRC Copper and Cobalt Projet Sarl) a signé un important contrat de sous traitance avec le groupe minier MCK (Mining company Katanga) à Lubumbashi le vendredi 23 février dernier vers 14 heures, heure locale.

La signature de ce contrat de sous traitance d’une valeur d’environ 30 millions de dollars américains a eu lieu en présence du Gouverneur élu de la province du Katanga.

Comme l’a souligné le président du Conseil d’Administration du DCP, M. Simon Tuma Wäku, ce contrat doit être considéré comme la matérialisation de l’engagement du DRC Copper and Cobalt Project Sari dans la promotion de l’entreprenariat congolais et le redécollage du Katanga.

La plus importante nouvelle de cette journée du 23 février, c’est la construction d’une usine de raffinage du cuivre et du cobalt à Kolwezi.

L’une des plus grandes usines de raffinage du cuivre et du cobalt au monde.
Son coût est estimé à environ 700 millions de dollars américains.

Selon les clauses du contrat, la préparation du site où sera érigée cette nouvelle usine de raffinage à Kolwezi est assuré par le groupe minier MCK déjà à pied d’œuvre.

Dans la somptueuse résidence du Gouverneur élu de la province du Katanga, Moïse Katumbi Champwe du quartier Golf à Lubumbashi sont réunis des hommes d’affaires congolais et sud-africains sous l’œil vigilant des cameras et dictaphones, symboles de la présence indiscrète des journalistes.

L’événement, on le devine plus qu’on ne le comprend à travers un débat chaud en anglais mettant aux prises d’une part le chairman du DCP, Simon Tuma waku et le Gouverneur élu du Katanga, Moïse Katumbi et de l’autre, les journalistes sud-africains.

Ce débat tourne autour du contrat qui sera bientôt signé.
Les deux, chacun en ce qui le concerne, balayent d’un revers de là main les inquiétudes, les appréhensions des journalistes.
Mais, répondent aussi aux préoccupations les plus fondamentales, voire les plus fondées.

Quelques instants après, deux protagonistes montent sur une table préparée d’avance avec des cahiers qui ressemblent aux grands registres.
Ils doivent signer un important contrat estimé à 30 millions de dollars américains. Le DCP est représenté par son chairman Simon Tuma Waku Bawangamlo, ancien ministre des Mines et le MCK par son vice-président Kenneth Mac Leod.

Ce contrat de sous-traitance est signé vers 14 heures sous une pluie battante mais aussi sous un tollé d’applaudissements de l’assistance.

La présence de Moïse Katumbi, gouverneur élu du Katanga marque d’un cran l’importance que les autorités congolaises accordent à l’exploitation minière dans la province du Katanga.

Faisant partie du grand groupe Nikanor, coté à la bourse de Londres, la GEC (Global Entreprise Corporate Ltd), une société créée par Beny Steinmetz Global Ressources et Dan Gertler International de KOV a débuté les négociations avec la Gécamines pour l’exploitation de la mine à ciel ouvert Kamoto, Oliveira, Virgule (KOV) et les gisements de Kananga et de Tilwezembe en 2004.

En 2005, le Conseil de Ministres approuvait ce contrat de Joint venture.
Et par un décret, le Président de la République, Joseph Kabila le ratifiait.

Aussi, en 2006 intervenait le transfert des permis miniers de la Gécamines à DCP (DRC Copper and cobalt project).
Soulignons qu’aux termes de ce contrat de sous traitance entre le DCP et MCK, il est prévu la construction d’une usine moderne de raffinage.

Lien vers le texte original, intégral

lundi 19 février 2007

Lubumbashi : Le projet de construction d’une route Kolwezi (RDC) - Solwezi (Zambie) approuvé

Source : APAnews
Date de survenance : 19 février 2007
Date de première publication sur Internet : 19 février 2007

Texte intégral :
Le projet de construction d’une route Kolwezi (RDC) - Solwezi (Zambie) approuvé

APA Lubumbashi (RDCongo)

Le projet de construction d’une route reliant la ville de Kolwezi en RDC, à la cité zambienne de Solwezi, élaboré par une commission technique paritaire composée des experts des 2 pays, vient d’être approuvé par Jacques Mudib Nguz, gouverneur intérimaire de la province du Katanga, avant sa mise en exécution, a appris APA ce lundi auprès du cabinet de l’autorité concernée.

L’accord de l’autorité provinciale du Katanga intervient après un avis favorable émis sur la faisabilité de ce projet par les experts congolais et zambiens qui ont mené conjointement des études techniques sur terrain.

La route à construire entre la ville de Kolwezi et la cité de Solwezi aura une longueur de 150 km sur une largeur de 9 mètres.

Le coût des travaux de construction de cette route qui, englobe également la construction d’une cinquantaine de maisons à la frontière pour les bureaux et logement des agents des services opérant sur les lieux, est évalué à 18.000.000 de dollars américains.

Le financement sera assuré par l’entreprise minière Frontière SPRL, filiale de la multinationale First Quantum Minerals.

Selon Jacques Mudib Nguz, initiateur de ce projet, la construction d’une route entre Kolwezi et Solwezi vise à doter la ville de Kolwezi, des infrastructures nécessaires pour abriter la capitale de la future province du Lualaba dans 3 ans, selon le découpage territorial fixé par la nouvelle Constitution.

Cette route permettra également de désenclaver la ville de Kolwezi en la reliant directement à l’Afrique australe via la Zambie sans passer par la frontière de Kasumbalesa qui est très saturée.

La ville de Kolwezi est un grand centre minier qui produit les minerais de cuivre et de cobalt destinés à l’exportation.

La population de cette ville estimée à 400.000 habitants consomme la farine de maïs et autres produits manufacturés en provenance de l’Afrique australe.

Lien vers le texte original, intégral

lundi 12 février 2007

Malaise à l'Université de Lubumbashi (UNILU) : accusations diverses du mouvement Debout Campus, réaction laconique du recteur...

Source : Clubwalco-AC, Le Phare, Debout Campus
Date de survenance : 12 (?) février 2007
Date de première publication sur Internet :13 février 2007

Texte intégral :

Congo-Kinshasa: Malaise à l'Université de Lubumbashi

Le Phare (Kinshasa) Publié sur le web le 13 Février 2007 J-Alain Kabongo

Dans une lettre ouverte au nouveau Ministre d'Etat à l'Enseignement Supérieur et Universitaires, Sylvain Ngabu Chumbu, le président, Jean-Pierre Masumbuku du Mouvement Debout Campus exprime sa préoccupation sur la gestion actuelle de l'Université de Lubumbashi.

Il pense que la recréation n'a pas encore pris fin dans cette institution d'enseignement universitaire où la corruption règne en maître sous la houlette du recteur Kaumba et du doyen de la faculté de médecine Mme Malonga Kaj.

Debout Campus dénonce la prise en otage de l'Unilu par un clan qui s'est illustré dans le détournement de sept cent ordinateurs, don de la coopération technique Belge, avec comme conséquence, la bousculade des étudiants devant un cyber café privé.

La disparition des matériaux de construction dont les carreaux, un don de l'Ong "Vision mondiale " et du ciment, don de l'actuel gouverneur Moïse KATUMBI à la faculté de médecine, le détournement des fonds destinés à la réhabilitation du home 10 par la Monuc, l'installation d'un snack bar à l'entrée des cités universitaires, la prolifération des extensions de l'UNILU dans presque toutes les villes et les cités de la province du Katanga pour enrichir un petit groupe et dont les récipiendaires sont tenus de prendre une inscription spéciale moyennant une caution de 35 $ destinés à l'achat des formulaires, 10 $, 15 $ frais de dépôt du dossier et deux rames de papier duplicateur soit 10 $.

Debout campus fustige aussi la hausse de frais de logement fixé à 30 $ pour les nouveaux venus et 20 $ pour les anciens pensionnaires.
Les conditions hygiéniques laissent à désirer.

En outre, le phénomène mouchard appelé "Tshembe Tshembe" bénéficiant de l'immunité et de la gratuité de frais académique et de logement serait à la base des exclusions intempestives et intimidation à tous les niveaux académiques.

Ce mouvement déplore aussi des nominations sur base de critères subjectifs des Doyens des facultés, des délégués des étudiants, des maires et des échevins des homes et des chefs de promotion au mépris de l'élection.

Conséquence, les nommés représentent plutôt les intérêts des autorités au lieu défendre ceux de leurs camarades. Ensuite, Debout Campus dénonce la spoliation du patrimoine universitaire par des particuliers.

En ce qui concerne la faculté de Médecine, ce mouvement attire l'attention sur la confusion qui y règne avec la nomination d'un doyen qui est, en fait, une infirmière. Il s'agit de Mme Malonga Kaj.

Cette dernière est gravement mise en cause pour vente de deux carnets de stage au cours d'une même année académique au prix de 2000 FC et à 5000 FC, l'achat de fiche de cotation de stage comme à l'ISTM à 4000 FC, la fixation des frais de dépôt du rapport de stage à 5000 FC, le paiement des frais connexes dont 60 $ pour les médecins stagiaires et 30 $ les autres promotions des étudiants en médecine.

Hormis cette exigence, les carabins sont obligés d'acheter les travaux pratiques individuellement auprès des enseignants.

Au sujet des inscriptions spéciales, les étudiants en provenance des autres universités du pays, doivent payer 50 $ Us de droit d'inscription.

Les transferts inter facultaires coûtent 35 $ pour les frais de dépôt du dossier d'inscription spéciale.

Après refus d'inscription sur décision du Conseil Universitaire, les frais ne sont jamais remboursés.

Pour ceux qui viennent des extensions de l'UNILU, notamment de Kamina, Kindu, Kolwezi, Likasi, Kasumbalesa, Kalemie, Malembankulu, Mwene-Ditu, l'admission se transforme en un casse-tête chinois alors qu'il s'agit d'une même université.

Tout en mettant en garde le cabinet Sylvain Ngabu contre de nouvelles manœuvres qui seraient en vue, Debout Campus exige la révocation inconditionnelle de l'actuel Comité de Gestion de l'Université de Lubumbashi et l'organisation des élections des doyens de toutes les facultés de l'Unilu.

Il en est aussi du départ de Mme Malonga de la faculté de Médecine.

Réaction du recteur Kaumba :
" cette histoire vient du corps professoral "


Abordé par le Phare, le recteur de l'Unilu a indiqué n'avoir pas encore pris connaissance de cette lettre ouverte.
Selon lui, cette histoire ne vient pas des étudiants mais plutôt du corps professoral.

" Si je reçois une telle lettre, je l'afficherai aussitôt devant les valves afin que tout le monde en prenne connaissance ", a-t-il promis.

A propos des accusations portées contre lui et son comité, le recteur Kaumba a indiqué que la doyenne de la faculté de médecine mise en cause répond aux conditions pour être doyen même si elle est infirmière.
" Il n'est pas dit que pour être doyen, il faut être professeur d'université ", a-t-il déclaré, avant de préciser que Mme Malonga est diplômée en Santé publique et fut vice gouverneur du Katanga.
Elle est expérimentée pour assumer ces charges.
Grâce à elle, l'ordre a été rétabli à la faculté de médecine qui est la seule à l'Unilu à disposer d'un calendrier pour les interrogations et autres épreuves.

En ce qui concerne le détournement de sept cent ordinateurs, il a répliqué que le parc informatique de l'université n'en compte que 400 et non 700 ordinateurs.

Quant au don de Moïse Katumbi, il s'est interrogé sur une telle audace dès lorsque le donateur a été élu gouverneur.
Bref, il a estimé que toutes ces allégations sont sans fondement et les met sur le compte de la diabolisation organisée par quelques membres du corps professoral.

Lien vers le texte original, intégral

Kolwezi : formation à la pratique journalistique pour des praticiens du district du Lualaba

Source : TRRAACE
Date de survenance : 12 au 15 février 2007
Date de première publication sur Internet : 12 février 2007

Texte intégral :
RDC: Formation à la pratique journalistique à Kolwezi.

Le renforcement des capacités sur la collecte, le traitement et la diffusion de l’information était au centre d’une formation organisée par le Groupe d’Echange et de Recherche Technologique (GRET), en partenariat avec le Réseau de journalistes formateurs du Congo, du 12 au 15 février 2007, à Kolwezi dans la province du Katanga.
Cet atelier a regroupé 15 journalistes de Lualaba et Kolwezi dont 13 hommes et 2 femmes.

Les participants ont exprimé leur satisfaction à cette initiative car nombre d’entre eux n’avaient jamais suivi une formation en journalisme.
Leur souhait est de voir se multiplier ces genres de formations pour améliorer leurs prestations.

Le voeux des organisateurs est la mise en pratique des acquis et la restitution auprès des collègues, ainsi qu’un plus grand respect des règles de l’éthique et de la déontologie journalistique.


Lien vers le texte original, intégral

jeudi 8 février 2007

Kolwezi : des responsables du mouvement catholique « Kiro » formés sur les droits de l'enfant et les devoirs des parents, avec le support de l'UNICEF

Source : AllAfrica, Le Potentiel, ACP
Date de survenance : ? février 2007
Date de première publication sur Internet : 09 février 2007

Texte intégral :
Congo-Kinshasa: Kolwezi - des responsables du mouvement catholique « Kiro » formés sur les droits de l'enfant

Le Potentiel (Kinshasa) Publié sur le web le 9 Février 2007 Godard Mabokoy

Un séminaire de formation axée sur l'approche « Jeune pour jeune » s'est tenu au Centre Uzima dans la commune de Manika à Kolwezi au Katanga.

Cette formation, financée par l'Organisation des Nations unies pour l'éducation et l'enfance (Unicef), concerne les chefs du mouvement catholique «Kiro» qui vont former à leur tour plus de 4.000 autres «Kiro » des districts de Kolwezi et de Lualaba, rapporte une dépêche de l'ACP.

A en croire Jean de Dieu Kafunga, chef canal « Kiro » de Lubumbashi qui a assuré cette formation, plusieurs modules ont été développés, notamment :
* l'instruction sur les droits de l'enfant et les devoirs des parents, en rapport avec la Convention relative aux droits de l'enfant,
* la protection maternelle sur la planification des naissances,
* la maternité sans risque,
* l'allaitement maternelle,
* la vaccination des enfants
* et quelques notions de santé individuelles et collectives, à savoir l'hygiène, la diarrhée, le paludisme et le VIH/Sida.

Ce séminaire de formation vise la sensibilisation de 10.000 jeunes et 5.000 parents, indique la source.

Chaque année, il faudra sensibiliser 7.500 jeunes et 3.500 parents et faire vacciner et enregistrer au service de l'état-civil 3.500 enfants parrainés.

Lien vers le texte original, intégral

jeudi 1 février 2007

Kolwezi : arrêté par l'auditorat militaire pour une affaire civile..."poto-poto" législato-administro-magouilleux !

Source : AllAfrica, La Prospérité
Date de survenance : ? février 2007...et avant, et après !
Date de première publication sur Internet : 02 février 2007

Texte intégral :
Congo-Kinshasa: Kolwezi, arrêté pour une affaire civile à l'auditorat militaire

La Prospérité Publié sur le web le 2 Février 2007 Narcisse Kabamba Kinshasa

Le conservateur des titres immobiliers Emmanuel Ngambo s'inscrit en faux.

Au seuil de cette 3ème République où le peuple Congolais aspire à de nouvelles vertus, certains services de l'Etat se permettent d'usurper les responsabilités allouées aux autres.

Tel est l'exemple de certains agents du Service Urbain des anciens combattants de Kolwezi qui, aujourd'hui, délivrent aux privés les documents tel que la demande de terre, contrat de concession, fiche parcellaire et l'autorisation d'occupation.

Cette situation n'a pas plu au Conservateur des Titres Immobiliers de Kolwezi, Emmanuel NGAMBO.

D'ailleurs, à deux reprises, il a déjà fait arrêté Monsieur NTALASHA SANGWA MODESTE ETIENNE du Service des Anciens Combattants de Kolwezi pour ces forfaits.

Tout dernièrement le Conservateur Emmanuel NGAMBO a été arrêté et mis au cachot par l'Auditorat Militaire.

Comme tout congolais avisé, le Conservateur a trouvé cela injuste étant donné qu'il n'a jamais été militaire pour être jugé par les instances militaires.

Interrogé par le Journal «La Prospérite», M. Emmanuel NGAMBO a avoué qu'un ancien combattant a droit de solliciter un terrain à titre individuel.

Sinon, il n'a jamais existé un lotissement propre aux anciens combattants.

Le Conservateur de Kolwezi a enrichi ses arguments tout en faisant allusion à la lettre de doléances émanant du ministère des anciens combattants à celui des titres fonciers en 1973.

Une instruction a été donnée à ce sujet au Conservateur de Province d'octroyer à titre individuel le logement aux anciens combattants qui ont milité sous le drapeau.

Interprétant mal cette démarche de la hiérarchie, certains agents du service des anciens combattants ont amorcé la vente anarchique des maisons et cela à l'insu du ministère de tutelle.

A titre illustratif, le quidam (Mr SANGWA) un des agents du service urbain des anciens combattants Kolwezi délivre le contrat de terre de cinq ans pendant que la loi qui nous régit actuellement en donne 3 pour un terrain inculte destiné à l'usage résidentiel dans les villes urabano-rurales et villes sur toute l'étendue de la RDC, a expliqué le Conservateur.

Et ce, conformément à l'article 183 paragraphe 4 alinéa 3 de la loi numéro 73-021 du 20/07/1976 tel que modifié et complété par la loi n° 80/008 du 18/07/1980.

Pour l'heure, le peuple de Kolwezi qui savait qu'il n'y avait que deux services attitrés pour l'obtention de terrain, à savoir le Conservateur des Titres Immobiliers et le Cadastre, est surpris de voir aujourd'hui certains agents du service des anciens combattants se substituer en lieu et place de ces services précités.

Pour le Conservateur Emmanuel NGAMBO, tout lotissement est sanctionné soit par le décret loi, l'arrêté ministériel ou l'arrêté du Gouverneur.

Qui fait quoi et qui doit faire quoi, telles sont les questions auxquelles les différents services tant civils que militaires devront répondre aux paisibles citoyens afin qu'ils soient édifiés.

Lien vers le texte original, intégral